OXALIS, Ânes & Nature

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- Les chansons -

L’Axo

Dans cet espace intersidérale
Dans cette immensité impalpable
Dans ce désert immense espace
Je ne quitte pas des yeux cet axe.

 Dans cette ambiance, unilatérale
Dans cette infinité, intouchable
Dans ce contexte, intense extase
Je repère en plein milieu, la trace.

Axo, axo, je veux libérer le Sïl
Axo, axo, communiquer avec un fil

 Je m’installe dans l’axe
Lentement je prends ma place
Je regarde l’avenir en face
Je positionne tranquille relax
Je me jette dans l’espace
Je croise les étoiles qui passent
Et je m’aligne dans cet axe

 Axo, axo, je veux libérer le Sïl
Axo, axo, communiquer avec un fil

 Dans la banquise ou dans les glaces
Je me languis, me met en place
Je prends le risque, je me sens capable
L’instant magique d’un début de cavale

 Dans les lagunes au sol friable
Ou dans les dunes d’une mer de sable
Température douceur agréable
La demi-lune en est coupable

 

L’Envers du monde

 Le Soleil se cambre à l’horizon
Juste une petite lueur au loin
Tout mon corps tremble à l’unisson
Quitter mon monde pour le lointain
La voie lactée m’enivre de son vide
Croiser des astres et des astéroïdes
Tourner autour d’autres univers
Contourner les mouvements et les cratères
Faire avec les planètes des révolutions
Se laisser tourner dans de folles rotations
Entrer dans un monde sans fin
Pour se laisser aller et puis… plus rien.
Ce silence qui envahit l’espace
M’enlace dans un univers qui me glace
Je plonge dans le néant sans une trace
Je gagne l’envers du monde je prends ma place

 

Les Gros Bois

Une forêt immense
S’étend là jusqu’au Rio Grande
Elle baigne ses branches dans l’anse
Des lagunes avec élégance
C’est comme en transparence
On croirait une apparence
Ce n’est qu’une simple croyance
La forêt se meurt d’avance
Des gros bois sont en partance
Pour chauffer là bas en France
Allumer un feu qui danse
Laisser aller la chance
Des hommes sans pitance
Coupent les arbres avec violence
Sans pudeur, sans véhémence
La forêt est en partance

 

L’Omnipotence de ZOX.

Zox n’est pas venu pour faire de la figuration
Zox a mis en place les bases de la révolution
Il a gravi les marches, avec ses compagnons
Il va organiser, les lois de la transformation
Zox s’est attaché, à faire entrer dans la conscience
Des hommes tétanisés par sont omnipotence
Zox s’est empressé de tout donner il a perdu patience
Les hommes se sont courbés sans poser résistance
Zox n’a pas tenu à faire des actes de diversion
Zox est convaincu, garder sa détermination
Les hommes vont se plier, face à sa décision
Ils vont se concentrer, se fier et lui donner raison.
Zox a voyagé pour observer la face du monde
Zox est écoeuré de voir le peuple se lancer des bombes
Zox est étonné de voir les hommes se creuser des tombes
Zox est révolté il veut renverser la tendance
Zox interrogé veut comprendre cette décadence
Il veut  tout tenter partir dans le bon sens
On a tout cramé on a mis le feu au navire
Le bateau va couler sans même atteindre l’autre rive
Nous sommes les naufragés d’un radeau mis à la dérive
Zox a ressenti l’intensité, la vibration
Zox a consenti de maîtriser ses émotions
Il a même admis d’imposer quelques conditions
Il reste un espoir même si l’avenir est au placard
Ne pas accepter voir! Future dans un couloir
Mais il faut le vouloir ne pas rester dans le trou noir
Il faut pourtant y croire - c’est notre seul espoir
Zox s’est proposé d’engager la révolution
Zox s’est engagé, retourner la situation 
Il va nous secouer, prendre une décision 
Il va tout vous donner, il va vous réveiller : Action

 

Quelle Misère

Quelle misère, de regarder en l’air
Y’a un trou dans la zone
Y’a plus grand-chose à faire
Quelle misère, de regarder par terre
Y’a des hordes de fauves
Qui se frôlent en faux frères
Je n’ai plus que tes yeux pour me plaire
Je n’ai plus que l’amour en claire
Je n’ai que des paroles en l’air
Pour sauver notre bonne vieille terre
Quelle misère, de regarder la mer
Y’a bien trop de cargos, Y’a trop de containers
Quelle misère, de voir les flammes de l’enfer
Qui protègent le trône, De tous les hommes d’affaire.

 

L’Orange 

Un sentiment étrange, Une petite louange
Se perd dans mon enfance, Comme la voix d’un ange
Faible lueur orange, Le murmure d’une mésange
Le hurlement d’une transe, Comme un cri de vengeance
Un sentiment étrange, Comme une simple apparence
Une infime complaisance, Revivre de ses cendres
Le grand Sïl se penche, Lentement je m’avance
Entendre la sentence, Je ne dis je pense
Il m’invite à la danse, Je rentre dans la transe
Je perds toute ma conscience, Je tombe dans l’inconscience
Ses mots me retranchent, Se referment comme une anse
Il affirme avec insistance, Les fondements de sa science
Le grand Sïl se penche, Je sens mon appartenance
Sa théorie engendre, Des sentiments étranges

 

Changer d’Atmosphère

On compte sur vous
On compte sur nous
Pour changer d’air
On compte sur vous
On compte sur nous
Pour classer les affaires
On compte sur vous
On compte sur nous
Pour Changer d’Atmosphère
Pour Changer d’Atmosphère
Pour Changer d’Atmosphère
On va prendre conscience
Eviter la tourmente
Sortir des turbulences
Pour passer à L’Orange
Pour passer à L’Orange
La Terre dans le bon sens
Sans garder le silence
Se confier à la science
Pour passer à L’Orange
Pour passer à L’Orange
On change la cadence
Sans nier l’omnipotence
Entrer en résistance
Pour passer à L’Orange
Pour passer à L’Orange