- L’Ombre et la Lumière
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Capo 2 – rem/do/lam/Mim –
Do/sol/lam - Do/lam/sol7/do
Filo : Jade :
Dans
la lumière du jour Elle
travaille à la ferme
Dans
les poussières autour Pour Monsieur le marquis
Elle
vient comme une lueur S’approche à pas feutrés
Qui
scintille sur son cœur Elle s’occupe de lui
Elle
apparaît comme un mirage, Jade Elle
est fidèle et attachée, filomène
Elle
se dessine comme une image, Jade Elle
le protège des années, elle l’aime
Filo : Tu le connais depuis longtemps toi, Félix
Jade : Oh, depuis la nuit des
temps, je lui apparais comme un mirage, le soir,
Je me dessine comme une image… et
toi ?
Filo : Moi, j’essaie de le protéger car çà fait plusieurs années qu’il est
triste,
A cause du cirque… tu es au
courrant ?
Jade : Les rêves les plus fous
sont souvent les plus forts.
Filo : Jade :
Elle
est un peu étrange C’est
une princesse de l’ombre
Elle
lui vient comme un ange Qui
œuvre pour sa destiné
Ephémère
comme l’éclipse Elle
illumine sa pénombre
Une
chaumière pour Félix Pour
éclairer se idées
C’est
un lendemain qu’on envisage, Jade Elle le soutien de jour en jour,
Filomène
Comme un espoir qu’on aménage, Jade Elle reste fidèle pour
toujours, Elle l’aime
Filo : Quand viens tu le voir, je ne t’avais jamais rencontré, avant.
Jade : Je viens quand il est
triste, le soir, je dépose sur son cœur une perle avec
douceur et je disparaît dans un nuage.
Filo : En fait, nous sommes comme l’ombre et la lumière, différentes mais
inséparables, sans la lumière, il n’y a plus
d’ombre…
Jade : Comme l’ambre, éphémère,
nous sommes le parfum de l’amour, un filament étoilé une ombre
qui s’efface
à pas de velours
Filo : Jade :
Elle
vient quand il est triste Nous
sommes ombre et lumière
Le
vieux clown Félix En
lueur à contre jour
Une
perle sur son cœur Nous
sommes ambre éphémère
Se
dépose avec douceur Un
parfum de l’amour
Elle
est étoile d’un roi mage, Jade Un filament étoilé, lumière
Elle disparaît dans un nuage, Jade S’efface à pas de velours, l’ombre
Le bel oiseau blanc.
Capo 2 :
lam/mim/Lam/mim/do – Do/rém/la7/mim/La7/rém/sol/lam
Lam/fa/sol/lam (x2) –
Lam/mim/sol/lam – Mim/fa7/sol/lam
C’est un bel oiseau blanc
Est venu m’annoncer
Le secret contre temps
Il me l’a murmuré
C’est un bel oiseau blanc
Est venu décider
Le projet d’autre temps
Le cirque s’animer
Les rêves les plus fous
sont souvent les plus forts
Des rêves magnifiques qui
envahissent son corps
Le cygne sur un lac comme
un bel oiseau blanc
Qui signe et retrace
l’espoir du firmament
Les douceurs de la nuit
Apaise ses tourments
Les reflets de la vie
Appellent ses joies
d’antan
Les rêves magnifiques
Enfouis dans l’esprit de
Félix
Chasser la trace maléfique
Et réveil le cirque Oxalis
La valse des songes
Boite à musique
Félix :
Philomène, c’est quoi la vie heureuse
C’est qui qui décide de ce qu’on vit,
de ce qui se passe…
Le bonheur est éphémère, les
espoirs… les illusions….
Filo : Dans les espoirs les illusions
Dans le fruit de tes passions
Prends garde aux tendres mensonges
C’est la douce valse des songes
Félix : Philomène, c’est qui écrit la vie, qui
transforme les rêves
C’est qui qui les fait vivre, qui cri
les espoirs, les désespoirs…
Filo :
Dans des faux espoirs, des désespoirs
Tu oscilles dans la nuit noire
Brille comme l’or, fade comme le bronze
C’est la lente valse des songes
Félix : Philomène, Où vont les rêves quand ils
s’en vont
Quelqu’un les récupère ou on les range
dans des dossiers
Bien classés… et puis ont les ressort, au bon
moment,
quand on en a besoin
Filo : C’est un peu ta vie Félix
C’est le rêve qui te rend triste
C’est le souvenir qui te ronge
C’est la dure valse des songes
Le cirque à Félix
Quand le cirque à Félix
s’invite, les lampions du village s’illuminent
Quand la troupe s’installe
sur la place, les flonflons se dégagent et s’animent
Les enfants impatients qui
s’excitent, de voir d’approcher les animaux
Les parents tout le monde
participent, pour installer le grand chapiteau
Sur la place du village on
accoure, c’est un rêve ce n’est plus un miracle
Sur la place du village on
s’attroupe, on n’veux pas être en r’tard au spectacle
Le rideau se lève
Le rideau se lève à 8
heures, et toutes les lumières envahissent
Au micro un présentateur,
annonce la suite des numéros
Au trapèze sous le
chapiteau, un groupe d’acrobates se hisse
Ils virevoltent sous les
projecteurs, balance à 20 m de hauteur
Deux manchots s’avancent
de profil, se lancent à vélo dans la course
C’est tous les animaux qui
défilent, les chevaux, les chameaux et les ours
Un jongleur perché sur un
fil, avance et recule en ballerine
La clameur du public
jubile, applaudit dans les cris et les rires.
Tout à coup c’est le grand
silence, quand arrivent sous la stupeur
Les fauves sous le fouet
du dompteur, qui claque dans les cris d’horreur
Enfin c’est le tour de
Félix, de faire tournoyer son chapeau
La vedette du cirque
Oxalis, le clou de tous les numéros
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